Vous voilà de retour dans la faune cosmopolite des habitués de la nuit. Malgré le fait que l'on soit en pleine semaine, vous croisez des personnes qui pourraient être chef d'entreprise ou bien politicien. Quel étrange monde, on vous sourit, on vous salut comme ci tout le monde vous connaissait. Un harangueur un peu plus habile que les autres parvient à capter votre attention et à vous faire arrêter. Vous en profiter pour lui demander où se trouve le "Joy". Malgré ses boniments il consent à vous le dire. C'est un peu plus loin, vous ne pouvez le rater. En effet, il ne vous a pas menti, un panneau lumineux assez grand s'étale sur la façade où vous pouvez y lire le nom de l'endroit. Ce n'est pas très discret mais après tout, pourquoi ne pas donner rendez-vous dans un endroit assez grand, on y passe plus facilement inaperçu. La situation vous amuse vous en venez presque à oublier le but de votre venue. A la caisse une femme agée sans sourire vous fait signe. Vous vous rapprochez de sa caisse et vous glissez votre argent dans la fente du bas de la vitre. En retour elle pousse vers vous des jetons tout en levant le doigt dans la direction des cabines. Vous suivez la direction indiquée, devant vous il n'y a que des portes fermées. Ennuyé, vous ne savez s’il faut essayer de les pousser. Vous faites quelques pas dans le couloir et vous tombez sur une porte ouverte. Vous profitez de l'aubaine pour pénétrer dans la cabine. Il y fait très sombre: une unique petite lumière verte se situe à mi-hauteur en face de vous. Le linoléum collant sous vos pieds vous écœure et vous fermez la porte derrière vous tout en vous asseyant sur le petit tabouret recouvert de skaï. Vous êtes maintenant en mesure d'apercevoir l'endroit où vous devez glisser vos jetons car vos yeux se sont habitués à l'obscurité. Une fois le jeton ayant quitté vos doigts, vous entendez un léger bruit et le volet devant vous se lève. Il y a là une pièce éclairée bordée de vitres opaques telles que la votre. Vous trouvez ça un petit peu sordide, dire que les gens qui viennent ici sont des habitués. Mais vous êtes tiré de vos réflexions par l'arrivée de la strip-teaseuse. Enfin, si tenté que l’on puisse l'appeler comme telle vu la quantité de vêtements qu'elle daigne porter. Elle traîne derrière elle une chaise qu'elle pose au milieu de la pièce. Demi-tour, elle passe sa jambe au-dessus du dossier pour toucher du bout du pied l'assise. Cette position souligne le galbe de ses jambes. Vos yeux parcourent son corps mais vous êtes interrompu par la descente du volet. Troublé par le spectacle vous avez peine à remettre un second jeton. Et lorsque vous sortez le tas de jeton pour le disposer devant vous, plusieurs d'entre eux tombent sur le sol. Grommelant, vous les ramassez du bout des doigts. Au moment où vous relevez la tête, la fille se débarrasse de son haut et laisse apparaître la poitrine la plus pulpeuse que vous n'ayez jamais vu. A la fois rond, ferme et très gros cela ne peut être naturel, mais qu'importe c'est si agréable à regarder. Vous vous surprenez à vouloir y toucher. Le volet redescend et vous reprenez vos esprits, vous sortez de la cabine et vous mettez en quête de Jean. Si vous décidez de le chercher dans les autres cabines allez en 300. Si vous préférez l’attendre dans l’entrée rendez-vous en 275. |